Réactions des lecteurs

 

Le P. Lejeune, prêtre retraité du diocèse de Reims, décédé en septembre 2010,

avait réagi à la lecture du commentaire de st Jean du P. Philippe Plet :

 

Un lecteur de Rennes écrit :

« Philippe Plet présente une lecture "inspirée" de l'Évangile de Saint-Jean, très innovante et pourtant 100% fidèle au texte et à l'enseignement des Pères de l'Église. Son exposé paraît si convaincant qu'il est étonnant que personne n'ai publié avant lui ce fil conducteur pour la compréhension du 4° évangile. J'ai acheté ce livre après avoir été enthousiasmé à la lecture de son récent ouvrage sur l'Apocalypse. Je n'ai pas été déçu » (Dominic, 20/09/2011).

 

Un lecteur de Belgique écrit :

« Voici une semaine que je suis envahi par la lecture de votre livre. Simplement, merci. Votre regard est beau, perçant et fulgurant, dépoussière et donne vie et dynamique à ce texte sacré de Saint-Jean dont on n'aura jamais tout dit, tant il nous mène à l'infini. (...) Votre livre vient étonnamment à propos dans mon parcours. (...) Et voilà que votre livre m'aide à soulever le voile au moment même où j'étais en désir et en quête de le soulever. Synchronicité étonnante. Je sais que cette synchronicité incroyable, c'est le Christ qui me guide.

Ce qui éclate à mes yeux en pleine lumière est la paix du Christ dans l'âme dans la maison de Béthanie, telle que vous la décrivez. Et pourtant, le Christ, ensuite, s'avance vers la croix, vers sa mort et sa résurrection, afin de l'offrir non pas seulement à quelques disciples de son entourage, mais à la terre entière !!! (...) Oui mon père, en toute sincérité, votre livre me touche profondément et d'une indicible façon ».

 

Une lectrice de Vendée écrit :

« Je lis le livre non sereinement mais avec passion. (...) En bref, si je trouve admirables vos commentaires, très enrichissants pour une direction spirituelle, je ne me résous aucunement à ce que St Jean l'Évangéliste ait ainsi utilisé l'allégorie.... Qu’il ait fait passer un message sous-jacent ... et que vous auriez enfin découvert... Pourtant je trouve beau de scruter les écritures. Mais pour moi, la révélation non encore vraiment explicitée est l'Apocalypse... Et non l'évangile... Bien sûr, votre "découpage" se tient très bien. Mais que St Jean lui-même y ait pensé, et ait écrit en conséquence... Pourquoi pas le Père Philippe tout simplement ? 

Pour un directeur de conscience, vous avez fait émerger du texte de St Jean des "outils" de connaissance qui restent fascinants, car baignés de l'Évangile, et validés par la Parole même de Dieu.... C'est cela qui me plait.... Cependant, si je dois en rendre grâce, c'est à votre étude, et non à St Jean lui-même.»

 

Une lectrice écrit :

Lorsqu'on plonge dans votre livre, Père, on n'en ressort pas comme on y est entré. C'est comme la piscine de Lourdes ... ou bien celle de Bethzata ...
Bien que la couverture soit belle comme celle d'un roman de l'été ..., ce livre ne se dévore pas comme un roman ; il se savoure. Il faut le lire à Bible ouverte ! Car c'est bien à une vraie découverte du 4ème évangile que nous sommes conviés. Une découverte dans le silence et la méditation.
Alors on se dit : "Mais oui bien sûr, c'est évident ; comment ne l'ai-je pas vu, compris plus tôt ?" Aucun théologien, aucun exégète n'avait jusqu'à ce jour perçu le message de ces 7 signes que nous révèle Saint Jean, comme les 7 marches d'un beau chemin de foi. Quel enseignement nous livre ici le disciple que Jésus aimait ! Et quel commentaire vous nous offrez !
Quant à vos pages sur Bethanie ..., la grande amoureuse de Marie-Madeleine que je suis en a été profondément touchée. C'est tout simplement beau !
De tout mon coeur, Père, je souhaite que ce livre des 7 secrets connaisse le succès qu'il mérite, car c'est un grand livre d'amour !
Merci.

 

Une lectrice de Paris :

Je vous remercie beaucoup pour ce merveilleux livre, ainsi que d'autres sur St Paul de la Croix, que j'ai pu lire aux moments vraiment utiles et nécessaires dans le temps de ma vie.

 

De Paris (site de la Procure) :

J'ai 23 ans, et je viens de faire la connaissance de St Jean à travers ce livre qu'on m'a offert. Et moi qui croyais connaître (un peu) les évangiles ! Je crois bien que je vais maintenant regarder autrement ce 4ème évangile ; et aussi St Jean. Il est le guide spirituel de tous mes rêves. Merci, Père Plet, de m'avoir fait faire autant de découvertes ! Et en plus, vous écrivez drôlement bien !

 

 De Paris (site de la Procure) :

Jamais encore je n'avais lu un pareil commentaire de l'Évangile de Jean. Ces 7 secrets, ou 7 signes ou bien 7 miracles, apparaissent soudain comme une évidence. Ils sont le plus bel enseignement que devrait recevoir et méditer tout croyant. Quant à l'écriture, elle est tout simplement magnifique. Comme si la plume avait été trempée dans l'encre de la Volonté divine, et de Son Amour.

 

Une lectrice écrit :

Père Philippe Plet. Grâce à votre livre, je viens de vivre un grand moment de "rencontre" avec Saint Jean. Depuis longtemps, je sentais que cet évangile était "particulier", mais il restait mystérieux pour moi. Aujourd'hui, je le ressens dans mon coeur comme un grand enseignement pour les croyants que nous sommes. C'est comme une direction spirituelle que nous aurait donnée Jésus. Car Saint Jean, n'est-ce pas, tirait directement sa connaissance de "la source", c'est-à-dire Jésus ?
J'ai beaucoup aimé, aussi, tout ce que vous nous avez confié au creux du coeur sur Bethanie et Marie-Madeleine !!!
Merci, Père Philippe Plet. A quand votre "révélation" sur l'Apocalypse ?
Madeleine

 

Un lecteur écrit :

Bonjour mon père,

Votre intervention personnelle me touche très profondément en plein coeur, et je vous en remercie très sincèrement.

Oui mon père, en toute sincérité, votre livre me touche profondément et d'une indicible façon. Je l'ai trouvé sur une table de la librairie de mon évêché et j'ai été attiré par lui comme un morceau de fer par un aimant. Je ne sais moi-même expliquer d'avantage, évidement. Je pense que étant né la même année, il doit y avoir un besoin et un regard, une expérience de vie, une façon de vivre sa foi qui devrait être similaire. C'est pourquoi j'ai signalé que nous avons le même âge.

Mon parcours a ceci de particulier que jamais, au grand jamais, je n'étais dans une quête spirituelle quelconque. J'étais athée et ne connaissais rien des évangiles. Donc sans rien faire et sans demander et sans vouloir quoi que ce soit de mystique, je me suis retrouvé comme les disciples dans la barque, plutôt tel que décrit dans St-Marc chap 5 et 6 (je peux me tromper d'un chapitre). Là, le Christ est dans la barque et dort lorsque la tempête surgit. IL "accompagne" les disciples dans leur traversée et intervient en dernière limite. Il est là et observe, laisse les disciples face à l'épreuve. Selon mon expérience, le Christ n'intervient que lors de la dernière limite, que un milligramme de plus au delà de cette limite et ce serait la mort définitive, bien sûr pour nous faire aller le plus loin possible dans notre rédemption, et nous reprendre au dernier moment. Je ne vous dis pas l'angoisse extrême et la souffrance sans nom. Mais il est là, il veille. Sans le voir, on sait qu'il y a une présence, on la sent, et malgré la crainte on avance en confiance. Au moment même je ne savais pas que ça aurait pu être le Christ, cette présence. Pourquoi aurais-je pensé que ce serait lui ??? Eh, vin Dieu, le Christ, en personne !!!! Qui suis-je pour mériter sa présence ?? Pour moi, il y avait "quelqu'un", dans l'invisible. La barque mène de l'autre côté du lac, en enfers en quelques sorte, là où il faudra vaincre les démons, nos propres démons. C'est une descente vers la mort, évidement. Pour un retour ensuite, une retraversée du lac et ensuite la résurrection de la fille de Jaïre. En me basant sur le récit de Marc ici. L'éclairage chez Jean est différent.

Ce que je veux dire est que je l'ai vécu cette expérience sans le demander, sans être un mystique "en désir de", que donc, ce parcours spirituel, intrinsèquement, "est". La rédemption "est". Il correspond à une réalité, on ne se la crée pas. On se crée juste la tempête soi-même si l'on n'est pas suffisamment préparé. Et, vin dieu, qui peut être préparé à une telle aventure extraordinaire ??? IL faut l'avoir vécue avant, ou alors avoir suivi un parcours de préparation je ne sais comment. Je n'ai rien fait de tout ça. La hauteur de la souffrance est propositionnelle à la joie. On y éclate, on y est déchiré en mille pièces, on n'a plus de structure, on s'effondre, on se relève, on se retrouve en esprit sur le mont Golgotha face au Christ, etc. La joie, mon Père, est que lorsque tout est détruit, il n'y a plus de barrière, alors "on voit". C'est pour cela que il ne peut y avoir, à mon sens, qu'un fond commun dans le parcours de Thérèse d'Avila, de Jean et des autres mystiques, pour autant, bien sûr, que ce parcours soit celui de la rédemption, initié par le christ lorsqu'il s'est manifesté. IL y a sans doute d'autres parcours que celui de la rédemption, je ne sais, sans doute, ils ne sont pas le mien, et c'est cela qui me fait intrinsèquement chrétien car je vis l'action du Christ et me sens membre de son corps.

Il doit bien y avoir une structure cachée unique derrière les formes multiples des expériences personnelles de ce parcours de rédemption. Les évangiles, et votre lecture, nous en parle. Les différences sont dans les formes manifestées, les manières personnelles de vivre le même mystère.